Octobre 2023 : sortie d'un nouveau roman ! C'est le moment de lire "Blanches de Sibérie" !
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Regarder une des conférences données par Philippe B. Tristan en décembre 2021 - C'est ici.
"Ton livre acheté samedi. Je l'ai dévoré comme une gloutonne me laissant un sentiment nostalgique : ah zut, c'est déjà fini ! Bref, belle rencontre." Cristal Roussel (Mail envoyé le lundi suivant !)
"Le livre m’a tenu en haleine jusqu’au bout (...) J’y ai vraiment découvert un univers totalement inconnu, improbable (...) Bravo pour votre plume, je ne me suis jamais ennuyé ni forcé à la lecture. Un très bon « roman » en tout cas !"Yves Hasselmann.
"j’ai trouvé ça très bien écrit, vraiment. C’est à la fois palpitant de par l’intrigue, mais doux aussi, délicat, subtil, dans cette découverte progressive d’un pays, d’une culture. Je t’ai trouvé particulièrement excellent dans les passages qui étaient résolument poétiques.(...) J’ai donc bien été happé par ce roman pendant ces quelques jours. Si le travail ne m’avait pas incessamment rappelé à lui, j’aurais pu le lire d’une traite !"Raphaël Baud.
"Voila, je l’ai dévoré en quelques heures, j’ai pris beaucoup de plaisir et souvent de très belles émotions liées à mes souvenirs (...) Les coutumes de l’Altaï sont vraiment bien décrites (...) Merci, ce livre m’a énormément plu."
Xavier Boulhol.
"Dès le début nous sommes pris par l’intrigue de l’histoire et on a vite envie de savoir ce qu’il va se passer. J’admire ta façon d’écrire, tes mots si bien choisis, ces détails pointilleux, qui nous font voyager et découvrir des paysages et personnages mystérieux…"
Véro Etienney-Mazzero.
"Je viens de finir de lire le livre et le texte de l'artiste russe à la fin. Un voyage extraordinaire à travers les mots ❤️" Elvyre Emonin.
Blanches de Sibérie, et doubles croches
Présentation du roman de Philippe B. Tristan
En 2012 Philippe B. Tristan est invité, dans le cadre d'une coopération franco-russe, a écrire un livre sur une région de Sibérie, le Kraï de l'Altaï. Pendant deux mois il visitera tous les replis de cette région grosse comme le tiers de la France. Le livre s’appellera Les Carnets de Sibérie.
Dans les années qui suivront, il va s'installera dans la ville de Novossibirsk.
Dans Blanches de Sibérie, commencé en 2014, il a pu libérer son imaginaire en mettant en scène les aspects qui l'ont le plus séduit de la Sibérie occidentale.
Blanches de Sibérie, et doubles croches est un road-movie que l'on sent écrit par un voyageur et un découvreur. Il a fallu par exemple que l'auteur aille à la rencontre d'un petit peuple autochtone, les Coumandines, pour pouvoir donner vie à certains de ses personnages. La façon de voir le monde de ces peuples chamaniques d'Altaï, vivant et dialogant avec les esprits de la rivière ou de la montage voisines, a influencé sa perception. Blanches de Sibérie est un thriller écrit par un voyageur, il se lira avec dépaysement et délectation, parfois rapide, parfois se ralentissant pour prendre le temps de se plonger dans un moment privilégié. Car c'est bien comme cela que se vivent les voyages...
Ciel de printemps à Anzass
Présentation du texte autobiographique de Lioubov Arbatchakova.
A l'occasion d'un repérage, Philippe B. Tristan rend visite en 2015 à Lioubov Arbatchakova et à son mari qui travaille dans une réserve naturelle. Il découvre les oeuvres de la peintre et poétesse et les photographie. Plus tard, il deviendra évident que l'autoportrait de Lioubov ferait la couverture idéale de Blanches de Sibérie. Lorsqu'il lui en demande l’autorisation, Lioubov Arbatchakova lui envoie un texte qu'elle appelle "sa biographie". Ce texte raconte l'enfance d'une petite fille d'une ethnie sibérienne, les Chors, vivant dans une région perdue entre entre la plaine de l'Ob, l’Altaï et les Sayans.
Ciel de Printemps à Anzass devient comme un autre reflet, une vision réaliste mais néanmoins subjective et sensible de ce que l’on trouve dans le roman. Philippe B. Trisan proposera à Lioubov Arbatchakova de traduire son autobiographie et de la publier avec le roman. Ce texte nous révèle un monde tellement éloigné du nôtre, à la fois joyeux et tragique, libre et entravé. Il permet aussi de comprendre les racines et la force d'une peintre et d’une poètesse autodidacte, qui a passé son enfance entre deux univers, celui des russes soviétiques et de traditions autochtones millénaires.